>>> JUSQU'AU 15 MARS /// EXPOSITION "ZISTWAR DÉ FRANCE" /// LES SOEURS CHEVALME // entrée libre de 13h à 19h
Jusqu'au 15 mars, la galerie Goutte de Terre accueille les sœurs Chevalme pour une
exposition exceptionnelle en lien avec la promotion de l’album hip-hop de Gaël Faye, sorti en février dernier et dont elles sont les illustratrices.
Le point de départ de la démarche des sœurs Chevalme est une culture urbaine et populaire. Leur projet « Papiers ordinaires », travaillé au feutre, se décline en trois séries. Dans les deux premières, les artistes ont exploré l’afro-descendance, en montrant notamment les différentes couches culturelles présentes dans le hip-hop américain et leur lien avec l’Afrique. La troisième série, intitulée « Zistwar dé France » s’intéresse à la thématique de l’identité nationale, ou plus justement « des identités nationales », visant à promouvoir une France plus ouverte. Leurs dessins proclament ainsi une identité inédite, illustrant l’évolution de la société et son attachement à plusieurs cultures.
De La liberté guidant le peuple de Delacroix au Radeau de la méduse de Géricault, les sœurs Chevalme reprennent et détournent les peintures des grands maîtres du XIXème siècle, pour valoriser les patrimoines culturels des minorités.
Le point de départ de la démarche des sœurs Chevalme est une culture urbaine et populaire. Leur projet « Papiers ordinaires », travaillé au feutre, se décline en trois séries. Dans les deux premières, les artistes ont exploré l’afro-descendance, en montrant notamment les différentes couches culturelles présentes dans le hip-hop américain et leur lien avec l’Afrique. La troisième série, intitulée « Zistwar dé France » s’intéresse à la thématique de l’identité nationale, ou plus justement « des identités nationales », visant à promouvoir une France plus ouverte. Leurs dessins proclament ainsi une identité inédite, illustrant l’évolution de la société et son attachement à plusieurs cultures.
De La liberté guidant le peuple de Delacroix au Radeau de la méduse de Géricault, les sœurs Chevalme reprennent et détournent les peintures des grands maîtres du XIXème siècle, pour valoriser les patrimoines culturels des minorités.
SAMEDI 16 À 20H // COMPAGNIE M-C-Art / théâtre / 10€/8€
Dans le cadre du festival Cri de Femmes, la compagnie M-C-Art présente la pièce "Ces jours qui dansent avec la nuit" de Caya Makhélé, mise en scène par Sirine Achkar et interprétée par Anyès Noël.
L'héroïne est une jeune femme
de trente ans, qui fête un triste anniversaire et nous dévoile son
histoire, bribe par bribe, au rythme de l'effet que le champagne a sur elle. C'est le soir de l'anniversaire de la mort d'Orisha, sa fille albinos, son unique enfant, tuée peu après sa naissance par Motoliwa le père de l'enfant et son compagnon d'autrefois.
Après
le meurtre de sa fille, la jeune femme commence à sortir, à fuir les
nuits perdues. Le visage d'Orisha revient de temps en temps illuminer
certaines de ses nuits et la présence de Motoliwa en perturber d'autres...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire